Les jours s’enchainent chez DDK avec la même routine, debout au chant du coq, départ quand les backpackers se brossent les dents, chargement du matos puis une demi heure de speedboat arrivés premiers sur les sites avec les croisières.
L’après midi de chaque journée, on me rapporte les ennuis du centre et la corruption endémique, chaque jour apporte son lot de surprises qui font blémir les proprios devant les exigences successives des Indonésiens :
- Deuxième jour, un policier s’invite autour de la piscine, moult parlementations s’ensuivent. Le verdict tombe, l’entrée du centre offre une vue sur la piscine avec des backpackeuses en mailot de bain. C’set pas du gout de l’office des mariages musulmans qui se trouve juste en face. Le centre doit trouver un moyen de cacher l’entrée.
- Troisième jour, l’entrée à été cachée par un mur de plantes, un policier s’invite autour de la piscine, moult parlementations s’ensuivent. Le verdict tombe, le mur décoré à l’arrière du centre n’est pas assez haut, il offre une vue des habitants de l’immeuble sur les chambres du premier étage ou potentiellement ma femme ou quelqu’un d’autre pourrait être vu en maillot de bain, ce n’est pas au gout des locataires de l’immeuble qui font leurs ablutions tous les matins.
- Quatrième jour, des solutions pour cacher le premier étage sont envisagées, bambous,ou kakemonos, un policier s’invite autour de la piscine, moult parlementations s’ensuivent. Le verdict tombe : le mur d’entrée est trop près de la rue bien qu’il soit dans la continuité des autres bâtiments, des passants (?) se sont plaints il doit être repoussé et le four à pizza doit être déplacé sous une semaine.
- On apprend également qu’ils ont demandé à ce que les fenêtres des salles de bain communes disposées à plus de 2m soient rehaussées car elles incitaient les gens à prendre une échelle pour filmer avec un smartphone les backpackeuses en train de se doucher. L’incitation au voyeurisme, surtout avec échelle, étant considéré comme plus coupable que le voyeurisme lui même.
‘Parsa je suis toujours aussi libre du programme sur mon speedboat.
Manu qui voit que j’aime bien les patates avec leur banc de glassfish me propose une plongée express sur Mawan en 5 minutes : d’après lui ça me plaira,
Il me largue donc à sur 5m d’eau pendant qu’il snorkele autour. Effectivement, jolie patate, clic clac, c’est rondement mené en 5mn et à peine 20 bars.
19 – La patate à glassfish de Mawan.
On continue sur Tatawa Besar que j’aime bien pour ses couleurs et dont j’avais loupé les photos pour cause de MAP manuelle. Toujours les mêmes coraux orange c’est de la balle.
20 – ça pète à Tatawa
21 ça pète toujours les couleurs sur Tatawa
22 – Pets continus de couleurs sur Tatawa
Tatawa besar colorful bommie by
Ludovic, on Flickr
23 – Pétomanie colorifique en couple sur Tatawa
Ensuite c’est Tatawa Kecil et c’est une autre paire de manche, un courant de malade presque pire que Shotgun il faut se glisser entre les patates, un slalom comme dans un jeu vidéo même les requins pointe blanche ont la raie de côté… trop trop trop compliqué pour faire des photos j’atteins mes limites en matière de courant.