Thaïlande, deux croisières, mars 2019
Posté : 24 mars 2019, 19:41
Bonjour,
Je suis retourné en Thaïlande. Deux croisières, quatre et trois jours. 26 plongées ! C’est pas très raisonnable, mais qu’est-ce que c’est bon ! Croisière Nord, à l’Ouest de la Thaïlande, îles Surin et Similan, puis croisière Sud, Kho Phi Phi, Koh Lanta... Toujours avec Andaman Scuba, jamais déçu : bateau correct (ça ne vaut pas les bateaux luxueux de la Mer Rouge, mais a-t-on besoin d’un grand niveau de confort pour quelques jours ?), très bonne cuisine, bonne organisation, bonne ambiance, et belles plongées.
Cette année, le bateau, c’était le Bunmee 4, le dernier né d’Andaman Scuba (avant le Bunmee 5, en préparation). Ça s’améliore d’un bateau à l’autre (j’ai testé les trois autres). Des cabines correctes, pas très spacieuses mais bien conçues, un bel espace de vie au pont supérieur. On peut lui reprocher de ne pas avoir d’espace de vie fermé, ce qui peut rendre les choses difficiles en cas de mauvais temps (même si on peut descendre des bâches pour se protéger). Le pont plongée est un peu petit si le bateau est à plein effectif (20 pax). Nous avons eu la chance de ne pas être au complet.
Cette fois-ci, la croisière Nord a débuté par Richelieu Rock. La visibilité n’était pas à son meilleur niveau, ça pouvait être verdâtre (ça m’a rappelé Oman), on n’avait pas toujours les 30 mètres habituels, mais ça ne descendait pas au-dessous de 5 mètres. Eau 27 à 30°C. Et un foisonnement de vie extraordinaire. Des glassfishes, je n’en avais jamais vu autant, des bancs de vivaneaux, fusilliers, des platax...
Je reviendrai poster des détails. Voici la première photo que j’ai « développé ». C’est un poisson-fantôme arlequin, Harlequin ghost pipefish en anglais (Solenostomus paradoxus). Et pendant ces croisières, il y en a eu plusieurs.
1. Poisson-fantôme arlequin (Solenostomus paradoxus), Richelieu Rock.
Une vidéo tournée à main levée et sans éclairage. D’un point de vue photographique, ça n’a aucun intérêt. Mais ça représente bien le foisonnement de vie.
À chaque plongée, je me demandais comment on avait fait pour mettre autant de poissons dans l’eau ;-) Et assez souvent, on se retrouve à pousser les glassfishes pour photographier un poisson. Autre surprise, quand on regarde vite fait une photo, on se dit « zut, il y a plein de pétouilles, j’ai mal placé mon flash », avant de s’apercevoir que les pétouilles, ce sont des poissons...
L’appareil, mon fidèle G7X Canon dans un caisson Canon. Je l’ai depuis mai 2015. Un flash externe Sea&Sea YS-D1 (la lampe tient le coup), monté sur un bras à rotule, à gauche. J’ai tenté d’ajouter une lampe vidéo à droite, pour éclairer les crevettes la nuit, pour diminuer les ombres, mais j’ai trouvé ça assez compliqué, assez encombrant, surtout que pas mal de plongées se déroulaient dans le courant. Je suis donc resté dans une configuration simple. J’ai un peu ramé, en particulier avec le déclenchement du flash, avant de m’apercevoir que la fibre était cassée à l’intérieur de la gaine (et donc des fois ça marchait, quand les deux morceaux étaient bien en contact, et des fois ça ne marchait pas). Et pour être totalement honnête, je ne me suis pas beaucoup appliqué sur le réglage de la position du flash. Eh bien j’ai eu tort...
D’autres photos et d’autres infos suivront...
Je suis retourné en Thaïlande. Deux croisières, quatre et trois jours. 26 plongées ! C’est pas très raisonnable, mais qu’est-ce que c’est bon ! Croisière Nord, à l’Ouest de la Thaïlande, îles Surin et Similan, puis croisière Sud, Kho Phi Phi, Koh Lanta... Toujours avec Andaman Scuba, jamais déçu : bateau correct (ça ne vaut pas les bateaux luxueux de la Mer Rouge, mais a-t-on besoin d’un grand niveau de confort pour quelques jours ?), très bonne cuisine, bonne organisation, bonne ambiance, et belles plongées.
Cette année, le bateau, c’était le Bunmee 4, le dernier né d’Andaman Scuba (avant le Bunmee 5, en préparation). Ça s’améliore d’un bateau à l’autre (j’ai testé les trois autres). Des cabines correctes, pas très spacieuses mais bien conçues, un bel espace de vie au pont supérieur. On peut lui reprocher de ne pas avoir d’espace de vie fermé, ce qui peut rendre les choses difficiles en cas de mauvais temps (même si on peut descendre des bâches pour se protéger). Le pont plongée est un peu petit si le bateau est à plein effectif (20 pax). Nous avons eu la chance de ne pas être au complet.
Cette fois-ci, la croisière Nord a débuté par Richelieu Rock. La visibilité n’était pas à son meilleur niveau, ça pouvait être verdâtre (ça m’a rappelé Oman), on n’avait pas toujours les 30 mètres habituels, mais ça ne descendait pas au-dessous de 5 mètres. Eau 27 à 30°C. Et un foisonnement de vie extraordinaire. Des glassfishes, je n’en avais jamais vu autant, des bancs de vivaneaux, fusilliers, des platax...
Je reviendrai poster des détails. Voici la première photo que j’ai « développé ». C’est un poisson-fantôme arlequin, Harlequin ghost pipefish en anglais (Solenostomus paradoxus). Et pendant ces croisières, il y en a eu plusieurs.
1. Poisson-fantôme arlequin (Solenostomus paradoxus), Richelieu Rock.
Une vidéo tournée à main levée et sans éclairage. D’un point de vue photographique, ça n’a aucun intérêt. Mais ça représente bien le foisonnement de vie.
À chaque plongée, je me demandais comment on avait fait pour mettre autant de poissons dans l’eau ;-) Et assez souvent, on se retrouve à pousser les glassfishes pour photographier un poisson. Autre surprise, quand on regarde vite fait une photo, on se dit « zut, il y a plein de pétouilles, j’ai mal placé mon flash », avant de s’apercevoir que les pétouilles, ce sont des poissons...
L’appareil, mon fidèle G7X Canon dans un caisson Canon. Je l’ai depuis mai 2015. Un flash externe Sea&Sea YS-D1 (la lampe tient le coup), monté sur un bras à rotule, à gauche. J’ai tenté d’ajouter une lampe vidéo à droite, pour éclairer les crevettes la nuit, pour diminuer les ombres, mais j’ai trouvé ça assez compliqué, assez encombrant, surtout que pas mal de plongées se déroulaient dans le courant. Je suis donc resté dans une configuration simple. J’ai un peu ramé, en particulier avec le déclenchement du flash, avant de m’apercevoir que la fibre était cassée à l’intérieur de la gaine (et donc des fois ça marchait, quand les deux morceaux étaient bien en contact, et des fois ça ne marchait pas). Et pour être totalement honnête, je ne me suis pas beaucoup appliqué sur le réglage de la position du flash. Eh bien j’ai eu tort...
D’autres photos et d’autres infos suivront...