CR de rattrapage 2018-19. Trajet direct : de Bali à Bali (durée 1 an +1 stop aux Phils).
Posté : 07 oct. 2019, 19:17
Et m***e… encore du retard à rattraper, les CR c’est comme le repassage, si t’en fais pas régulièrement, ça s’empile sur la table (enfin c’est ce qu’on m’a dit, vu que moi le repassage c’est une discipline abstraite…).
L’ami Ben2B et son aventure à Kalimaya m’a fait réaliser que j’avais zappé l’exercice depuis un an et que pendant ce temps de l’eau avait coulé sous les palmes (et un peu aussi dans mes bronches, voir plus loin).
Donc on va commencer logiquement par aout 2018. Oui 2018 vous lisez bien, et ça va continuer jusqu'en aout 2019.
Flashback juillet 2018 : c’est mon dernier exam’ de surveillance avant qu’on me foute la paix définitivement avec cette merde de mélanome choppé par coups de soleil successifs. Je suis dans le cylindre d’un scanner à me geler les grelots par 17°C, y rigolent pas avec la température du matériel de pointe, c’est un TEP : ça dure 20 minutes sans bouger d’un iota on est à la 17e minute, l’arbitre va siffler la fin du match et là… Pan… dans le noir… une petite voix nasillarde me renseigne que l’électricité a claqué dans tout l’hosto… et que je dois tout recommencer… pas de bol, ça n’augure rien de bon.
Début Aout 2018 : z’ont trouvé une petite zone qui les emmerdent dans le bas d’un poumon sur le TEP. J’l’avais pressenti, la panne ça n’augurait rien de bon.
Pas de panique, des fois que ça serait moins le bordel que prévu, faut faire un prélèvement des bronches. Le pneumo, il a l’air d’avoir 15 ans, c’est un eurasien rigolard qui me rappelle l’Indonésie où je vais faire une croisière dans une quinzaine de jours. « Bin quoi vous n’avez pas confiance en moi ? » se marre t-il quand il voit ma tête. Pour être honnête, je ne le prendrais pas comme spotter de nudibranches, maintenant comme pneumo je ne suis pas spécialiste, alors...
Tout en s’esclaffant, il m’enfile un tuyau qui glougloute dans les bronches et jusqu’au fond, ça surprend… « Vous avez déjà bu la tasse en plongée, non ? Vous devez avoir l’habitude. » qu’il me prévient, et là il m’injecte une bonne rasade de liquide directement dans les poumons… j’ai découvert la sensation de noyade : honnêtement, je veux pas faire mon bégueule mais c’est pas terrible. Vaut-pas le détour dirait le guide, l’impression du Grand Saut aussi. M’en fous, je pense au bateau et à Komodo.
Cet été 2018 ce serait Komodo pour une petite croisière, ensuite on va découvrir Kalimaya juste en face et puis comment résister à quelques jours de plus à Bali chasser les oeufs de Pâques à Tulamben.
Comme c’est déjà du réchauffé et que vous avez compris que je dois couvrir un an de CR on va attaquer au pas de charge.
Komodo en 4j. euh... non... 5j de croisière :
L’année précédente j’avais eu des bonnes vibes avec Dragon Dive Komodo, opération française à Labuan Bajo, en février ils m’annonçaient qu’ils lançaient une croisière sur un bateau budget mais sur lequel ils ont quand même aménagé une suite. C’est peut-être le meilleur rapport qualité prix de Komodo ! Ni une ni deux, on booke la suite, durée et conditions idéales pour ma non plongeuse de femme : pas trop long 4 jours de prévus, une suite spacieuse aérée et confortable, des gens qu’elle connait et dont on apprécie la compagnie.
On arrive la première nuit au resort : surprise, c’est tapissé sur les murs et les porte-fenêtres de photos que j’avais faites l’année dernière. Nous sommes 8 plongeurs au total des argentins, suisse, anglais, israeliens, espagnols et français (nous), des tout jeunes de 25 ans et des plus vieux (nous), des novices et des plus expérimentés (Nous… enfin… moi), ça parle toutes les langues et ce sera Nico qui fera directeur de croisière et qui s’occupera du groupe des 4 plus expérimentés. Nico c’est le scientifique de service, quand il y a quelqu’un qui lui sort l’expression anglo-saxonne « It doesn’t need rocket science to do that », il répond qu’il s’en fout vu qu’il est ingénieur aérospatial, mais voilà il a choisi de faire autre chose, de parcourir le monde et de faire de la mer son métier. Il y aussi Paul un gentil gars qui a travaillé à Raja Ampat et aux Philippines, bref pas des blancs becs ni des férus de la réglementation.
Au départ le bateau toussote comme moi chez le pneumo, il faut changer une pièce, on prend 4h de retard sur l’horaire… pas grave, Nico propose: puisqu’on prend du retard, on fera 5 jours de croisière à la place de 4j, ça gêne quelqu’un ici ? Mmmmh... non pas trop . On avait prévu de rester un jour de plus, donc ça tombe bien, pour le même prix ça paie une nuit supplémentaire. Coup de téléphone à la direction et voilà c’est pesé, non mais. Faudra juste faire gaffe à pas trop consommer de flotte à la douche et pour la bouffe on pêchera en mer.
Je vais pas détailler l’itinéraire Centre-Nord Komodo qui était plutôt du genre : "bon qu’est-ce qu’on fait demain les gars, y a-t-il un site que tu veux faire plutôt qu’un autre" (en général en se tournant vers moi)? La seule contrainte c’était de faire Castle Rock et Crystal rock les derniers jours de façon à accoutumer les minots à la profondeur et aux courants.
Alors quelques coups de cœur ou highlights quand même :
K1 Le bateau et son équipe de plongeurs :
K2 Première plongée d’accoutumance : Pengah
K3 Nico sur Batu Bolong
K4 Une trouvaille sur Batu Bolong
K5 Poissecaille sur Batu Bolong
K6 Cauldron
La troisième nuit nous nous amarrons dans une petite baie au Nord de Komodo, le lendemain c’est le baptême des profondeurs pour les petiots. Au matin j’entends quelqu’un crier et sauter à l’eau je vois Paul en tenue de snorkeling, il y a 6 ou 7 petites mantas à fleur d’eau à 30m du bateau.
Mon caisson est prêt mais encore ouvert, je le ferme vite fait, pas le temps de pomper le vide et je saute à l’eau. Je palme vers les mantas fait quelques petites apnées de 3-4m. je vois l’alarme rouge s’allumer alors je rentre à toute vitesse au bercail.
Le caisson à pris l’eau l’équivalent d’une demi tasse à café le boitier est un peu touché je le mets au grand air et au soleil. Il va redémarrer fort heureusement mais certaines touches deviendront inactives définitivement.
K7
K8
Je peux quand même repartir, suis soulagé... mais c’est la folie contagieuse dans le bateau, tout le monde s’arrache les photos et les vidéos. Pour continuer, on fait donc Castle rock et Crystal rock, les deux forteresses du Nord de Komodo, Castle rock outre la densité de poissecaille c’est la foire aux requins : vers les 25-30m, il y en a une dizaine dont une femelle grey reef, gravide et énorme. Difficile pour les photos comme il y a du courant mais les djeunes, ils sont extatiques.
Castle rock les planqués du courant :
K9
Pour Crystal Rock, c’est le délire complet, Nico a parié sur une inversion des courants et choisi au contraire de tous les autres bateaux de faire le site « à l’envers » de la petite vers la grande pinacle, pour ceux qui connaissent. Ce qui permettra de se retrouver au pallier avec les bancs de poissons. Bingo, on se met à l’eau, il n’y a aucun courant c’est d’un translucide genre 40m de visibilité, il y a du poisson partout, des bancs de cochers que je poursuis et soudain trois mantas sont reperées au-dessus faisant des cercles en surface, impossible à photographier j’aurais dû remonter trop. Malgré tout et avec les lots de poissecaille l’une des plus belles plongées parmi mes presque 1000 d’alors.
K10
K11
K12
Pour se terminer la croisière, Nico me propose Tatawa Besar en deuxième plongée mais bien bien avec du courant et de la profondeur. Je connaissais vers les 20m mais plus on sonde, plus y a du poissecaille : à 40m c’est dingue le nombre et la densité, y en a encore plus quand on regarde au loin. J’ai un angle à un moment, un banc d’une trentaine de gaterins qui s’abrite du courant et derrière c’est packé de snappers, je l’ai presque encore un mètre en retenant ma respiration… et baaam sur la droite une masse, comme une fusée, ce con d’espagnol vient se crasher avec le courant sur mes gaterins, devait être complètement stone cet abruti, j’ai entendu comme un écho quand on a gueulé ensemble, Nico était juste derrière moi, on a hurlé de concert.
Je regarde mon ordi ouuuuh, pitain…. Pas le temps de trainer pour que le banc se réunisse encore….8 minutes de pallier pour moi, 17 minutes pour Nico et son Suunto !!!
Tout ça pour dire que dans cette croisière c’est vraiment pas le respect des prérogatives et les cacartes qui nous ont tué les opportunités de nous amuser.
K13
K14
K15
Au bilan une très grosse recommandation pour Nico ou Polo comme directeurs de croisière. Et pour Dragon Dive Komodo donc? Hmmh… 6 mois après, ils ont quitté l’opération, Nico cherche avec sa dulcinée une place de resort manager quelque part dans le monde. Donc peut être que cette croisière mais pas avec la liberté que donnaient ces deux là. Très clairement les novices ont pu passer un pallier tout en étant rassurés par l’encadrement alors que de l’autre côté les plus expérimentés, bin on a fait ce qu’on voulait avec la bénédiction et même l’aide des managers.
Et ne parlons pas de l’ambiance, des jeunes qui font le tour du monde, des plus vieux qui veulent rester jeunes. Des histoires et des jeux de cartes de tous les pays. Donc topissime !
Mais main'nant c'est l'heure de partir sur Kalimaya.
L’ami Ben2B et son aventure à Kalimaya m’a fait réaliser que j’avais zappé l’exercice depuis un an et que pendant ce temps de l’eau avait coulé sous les palmes (et un peu aussi dans mes bronches, voir plus loin).
Donc on va commencer logiquement par aout 2018. Oui 2018 vous lisez bien, et ça va continuer jusqu'en aout 2019.
Flashback juillet 2018 : c’est mon dernier exam’ de surveillance avant qu’on me foute la paix définitivement avec cette merde de mélanome choppé par coups de soleil successifs. Je suis dans le cylindre d’un scanner à me geler les grelots par 17°C, y rigolent pas avec la température du matériel de pointe, c’est un TEP : ça dure 20 minutes sans bouger d’un iota on est à la 17e minute, l’arbitre va siffler la fin du match et là… Pan… dans le noir… une petite voix nasillarde me renseigne que l’électricité a claqué dans tout l’hosto… et que je dois tout recommencer… pas de bol, ça n’augure rien de bon.
Début Aout 2018 : z’ont trouvé une petite zone qui les emmerdent dans le bas d’un poumon sur le TEP. J’l’avais pressenti, la panne ça n’augurait rien de bon.
Pas de panique, des fois que ça serait moins le bordel que prévu, faut faire un prélèvement des bronches. Le pneumo, il a l’air d’avoir 15 ans, c’est un eurasien rigolard qui me rappelle l’Indonésie où je vais faire une croisière dans une quinzaine de jours. « Bin quoi vous n’avez pas confiance en moi ? » se marre t-il quand il voit ma tête. Pour être honnête, je ne le prendrais pas comme spotter de nudibranches, maintenant comme pneumo je ne suis pas spécialiste, alors...
Tout en s’esclaffant, il m’enfile un tuyau qui glougloute dans les bronches et jusqu’au fond, ça surprend… « Vous avez déjà bu la tasse en plongée, non ? Vous devez avoir l’habitude. » qu’il me prévient, et là il m’injecte une bonne rasade de liquide directement dans les poumons… j’ai découvert la sensation de noyade : honnêtement, je veux pas faire mon bégueule mais c’est pas terrible. Vaut-pas le détour dirait le guide, l’impression du Grand Saut aussi. M’en fous, je pense au bateau et à Komodo.
Cet été 2018 ce serait Komodo pour une petite croisière, ensuite on va découvrir Kalimaya juste en face et puis comment résister à quelques jours de plus à Bali chasser les oeufs de Pâques à Tulamben.
Comme c’est déjà du réchauffé et que vous avez compris que je dois couvrir un an de CR on va attaquer au pas de charge.
Komodo en 4j. euh... non... 5j de croisière :
L’année précédente j’avais eu des bonnes vibes avec Dragon Dive Komodo, opération française à Labuan Bajo, en février ils m’annonçaient qu’ils lançaient une croisière sur un bateau budget mais sur lequel ils ont quand même aménagé une suite. C’est peut-être le meilleur rapport qualité prix de Komodo ! Ni une ni deux, on booke la suite, durée et conditions idéales pour ma non plongeuse de femme : pas trop long 4 jours de prévus, une suite spacieuse aérée et confortable, des gens qu’elle connait et dont on apprécie la compagnie.
On arrive la première nuit au resort : surprise, c’est tapissé sur les murs et les porte-fenêtres de photos que j’avais faites l’année dernière. Nous sommes 8 plongeurs au total des argentins, suisse, anglais, israeliens, espagnols et français (nous), des tout jeunes de 25 ans et des plus vieux (nous), des novices et des plus expérimentés (Nous… enfin… moi), ça parle toutes les langues et ce sera Nico qui fera directeur de croisière et qui s’occupera du groupe des 4 plus expérimentés. Nico c’est le scientifique de service, quand il y a quelqu’un qui lui sort l’expression anglo-saxonne « It doesn’t need rocket science to do that », il répond qu’il s’en fout vu qu’il est ingénieur aérospatial, mais voilà il a choisi de faire autre chose, de parcourir le monde et de faire de la mer son métier. Il y aussi Paul un gentil gars qui a travaillé à Raja Ampat et aux Philippines, bref pas des blancs becs ni des férus de la réglementation.
Au départ le bateau toussote comme moi chez le pneumo, il faut changer une pièce, on prend 4h de retard sur l’horaire… pas grave, Nico propose: puisqu’on prend du retard, on fera 5 jours de croisière à la place de 4j, ça gêne quelqu’un ici ? Mmmmh... non pas trop . On avait prévu de rester un jour de plus, donc ça tombe bien, pour le même prix ça paie une nuit supplémentaire. Coup de téléphone à la direction et voilà c’est pesé, non mais. Faudra juste faire gaffe à pas trop consommer de flotte à la douche et pour la bouffe on pêchera en mer.
Je vais pas détailler l’itinéraire Centre-Nord Komodo qui était plutôt du genre : "bon qu’est-ce qu’on fait demain les gars, y a-t-il un site que tu veux faire plutôt qu’un autre" (en général en se tournant vers moi)? La seule contrainte c’était de faire Castle Rock et Crystal rock les derniers jours de façon à accoutumer les minots à la profondeur et aux courants.
Alors quelques coups de cœur ou highlights quand même :
K1 Le bateau et son équipe de plongeurs :
K2 Première plongée d’accoutumance : Pengah
K3 Nico sur Batu Bolong
K4 Une trouvaille sur Batu Bolong
K5 Poissecaille sur Batu Bolong
K6 Cauldron
La troisième nuit nous nous amarrons dans une petite baie au Nord de Komodo, le lendemain c’est le baptême des profondeurs pour les petiots. Au matin j’entends quelqu’un crier et sauter à l’eau je vois Paul en tenue de snorkeling, il y a 6 ou 7 petites mantas à fleur d’eau à 30m du bateau.
Mon caisson est prêt mais encore ouvert, je le ferme vite fait, pas le temps de pomper le vide et je saute à l’eau. Je palme vers les mantas fait quelques petites apnées de 3-4m. je vois l’alarme rouge s’allumer alors je rentre à toute vitesse au bercail.
Le caisson à pris l’eau l’équivalent d’une demi tasse à café le boitier est un peu touché je le mets au grand air et au soleil. Il va redémarrer fort heureusement mais certaines touches deviendront inactives définitivement.
K7
K8
Je peux quand même repartir, suis soulagé... mais c’est la folie contagieuse dans le bateau, tout le monde s’arrache les photos et les vidéos. Pour continuer, on fait donc Castle rock et Crystal rock, les deux forteresses du Nord de Komodo, Castle rock outre la densité de poissecaille c’est la foire aux requins : vers les 25-30m, il y en a une dizaine dont une femelle grey reef, gravide et énorme. Difficile pour les photos comme il y a du courant mais les djeunes, ils sont extatiques.
Castle rock les planqués du courant :
K9
Pour Crystal Rock, c’est le délire complet, Nico a parié sur une inversion des courants et choisi au contraire de tous les autres bateaux de faire le site « à l’envers » de la petite vers la grande pinacle, pour ceux qui connaissent. Ce qui permettra de se retrouver au pallier avec les bancs de poissons. Bingo, on se met à l’eau, il n’y a aucun courant c’est d’un translucide genre 40m de visibilité, il y a du poisson partout, des bancs de cochers que je poursuis et soudain trois mantas sont reperées au-dessus faisant des cercles en surface, impossible à photographier j’aurais dû remonter trop. Malgré tout et avec les lots de poissecaille l’une des plus belles plongées parmi mes presque 1000 d’alors.
K10
K11
K12
Pour se terminer la croisière, Nico me propose Tatawa Besar en deuxième plongée mais bien bien avec du courant et de la profondeur. Je connaissais vers les 20m mais plus on sonde, plus y a du poissecaille : à 40m c’est dingue le nombre et la densité, y en a encore plus quand on regarde au loin. J’ai un angle à un moment, un banc d’une trentaine de gaterins qui s’abrite du courant et derrière c’est packé de snappers, je l’ai presque encore un mètre en retenant ma respiration… et baaam sur la droite une masse, comme une fusée, ce con d’espagnol vient se crasher avec le courant sur mes gaterins, devait être complètement stone cet abruti, j’ai entendu comme un écho quand on a gueulé ensemble, Nico était juste derrière moi, on a hurlé de concert.
Je regarde mon ordi ouuuuh, pitain…. Pas le temps de trainer pour que le banc se réunisse encore….8 minutes de pallier pour moi, 17 minutes pour Nico et son Suunto !!!
Tout ça pour dire que dans cette croisière c’est vraiment pas le respect des prérogatives et les cacartes qui nous ont tué les opportunités de nous amuser.
K13
K14
K15
Au bilan une très grosse recommandation pour Nico ou Polo comme directeurs de croisière. Et pour Dragon Dive Komodo donc? Hmmh… 6 mois après, ils ont quitté l’opération, Nico cherche avec sa dulcinée une place de resort manager quelque part dans le monde. Donc peut être que cette croisière mais pas avec la liberté que donnaient ces deux là. Très clairement les novices ont pu passer un pallier tout en étant rassurés par l’encadrement alors que de l’autre côté les plus expérimentés, bin on a fait ce qu’on voulait avec la bénédiction et même l’aide des managers.
Et ne parlons pas de l’ambiance, des jeunes qui font le tour du monde, des plus vieux qui veulent rester jeunes. Des histoires et des jeux de cartes de tous les pays. Donc topissime !
Mais main'nant c'est l'heure de partir sur Kalimaya.