Thaïlande, croisières plongée mars 2020
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Thaïlande, croisières plongée mars 2020
Bonjour,
Retour en Thaïlande cette année. C'est mon cinquième passage, on peut se référer à [url=viewtopic.php?f=4&t=17325&p=208499#p208499]un ancien CR[pour les informations générales.
Cette année, les choses ne se sont pas passées comme prévu... Je commence par les bonnes nouvelles, l'organisateur des croisières, Andaman Scuba, est toujours aussi efficace. Le bateau, Bunmee 3, toujours aussi confortable et bien adapté. Petite innovation, on vous offre une gourde isotherme pour y mettre votre eau, distribuée par une fontaine réfrigérée. L'effet principal est de diminuer la quantité de plastique, et accessoirement l'eau reste plus longtemps froide dans la gourde isotherme que dans les bouteilles plastique. À part ça, le bateau a un format classique, un pont plongée, un pont sec lieu de vie, et un pont supérieur pour la bronzette (soyez prudent). Neuf cabines, 18 pax. L'équipe de marins est bien rodée, ils sont aux petits soins. Le directeur de plongée et le guide connaissent les sites par cœur et organisent les journées avec efficacité et bonne humeur, en tenant compte de l'avis des pax. La nourriture est excellente !
1. Le bateau, Bunmee 3.
À la suite d'annulations, nous étions peu nombreux, et donc possibilité de cabine individuelle, et chouchoutés par l'équipage. Le pont plongée est beaucoup moins encombré, on peut se préparer facilement, on a plus d'espace que l'on peut en rêver.
Concernant la croisière, le principal soucis cette année, c'était la visibilité réduite à quelques mètres, au lieu des trente habituels, et une eau verdâtre. L'eau était souvent agitée, les courants puissants (rien d'insurmontable, mais j'ai pratiqué au même endroit dans des conditions plus paisibles). De belles plongées, mais pour la photo, c'était pas gagné. D'ailleurs, si vous avez des conseils pour améliorer l'aspect verdâtre des photos, je suis preneur.
Pour tout arranger, j'ai noyé le compartiment à piles d'un flash lors de la première plongée. Le compartiment est étanche, et le flash n'a pas souffert, mais pour nettoyer pendant la croisière, il aurait fallu que je trouve du bicarbonate ou une bombe de nettoyant pour contacts électriques (ou les deux). J'ai donc fait avec un seul flash. À noter quand même que la bonne conception du compartiment à piles étanche fait que, une fois rentré, j'ai pu nettoyer et je dispose à nouveau d'un flash qui fonctionne bien.
Je vous propose quelques images, pas vraiment classées, au fur et à mesure que je les découvre. Honneur aux dames, je commence par une demoiselle ;-). J'ai pu, à plusieurs reprises, assister à des séances de nettoyage avec différents poissons.
2. Demoiselle dorée, golden damselfish (Amblyglyphidodon aureus). Et deux labres nettoyeurs communs (Labroides dimidiatus). Richelieu rock.
Bon, autant vous le dire tout de suite, question rencontres, on a été gâtés. En plus des classiques de ces eaux, on au eu les stars, y compris des bestioles que je n'ai pas souvent croisées dans ces eaux. Mais un bon nombre de fois, je n'aurai pas de clichés à présenter : trop loin, eau trop trouble, lumière trop verte… Voilà un autre classique du coin, les poissons-scorpion. Il y en avait à chaque plongée. Ils me fascinent toujours autant. Ils sont très sûrs de leur camouflage, et donc ne bougent quasiment pas, même quand on les dérange avec nos appareils. Attention à ne pas mettre la main dessus... Et quand ils bougent, ils accompagnent souvent le mouvement d'un grognement, un peu comme s'ils râlaient de les avoir dérangé. Pour cette photo, j'aime bien le fait que le poisson ne se détache pas trop de l'environnement : on le voit, mais on voit qu'on a du mal à le voir ;-)
3. Poisson-scorpion à houppe (Scorpaenopsis oxycephala). Richelieu rock.
Le suivant illustre bien les problèmes d'eau verdâtre...
4. Poisson-scorpion à houppe (Scorpaenopsis oxycephala). Koh tachaï pinacle.
Retour en Thaïlande cette année. C'est mon cinquième passage, on peut se référer à [url=viewtopic.php?f=4&t=17325&p=208499#p208499]un ancien CR[pour les informations générales.
Cette année, les choses ne se sont pas passées comme prévu... Je commence par les bonnes nouvelles, l'organisateur des croisières, Andaman Scuba, est toujours aussi efficace. Le bateau, Bunmee 3, toujours aussi confortable et bien adapté. Petite innovation, on vous offre une gourde isotherme pour y mettre votre eau, distribuée par une fontaine réfrigérée. L'effet principal est de diminuer la quantité de plastique, et accessoirement l'eau reste plus longtemps froide dans la gourde isotherme que dans les bouteilles plastique. À part ça, le bateau a un format classique, un pont plongée, un pont sec lieu de vie, et un pont supérieur pour la bronzette (soyez prudent). Neuf cabines, 18 pax. L'équipe de marins est bien rodée, ils sont aux petits soins. Le directeur de plongée et le guide connaissent les sites par cœur et organisent les journées avec efficacité et bonne humeur, en tenant compte de l'avis des pax. La nourriture est excellente !
1. Le bateau, Bunmee 3.
À la suite d'annulations, nous étions peu nombreux, et donc possibilité de cabine individuelle, et chouchoutés par l'équipage. Le pont plongée est beaucoup moins encombré, on peut se préparer facilement, on a plus d'espace que l'on peut en rêver.
Concernant la croisière, le principal soucis cette année, c'était la visibilité réduite à quelques mètres, au lieu des trente habituels, et une eau verdâtre. L'eau était souvent agitée, les courants puissants (rien d'insurmontable, mais j'ai pratiqué au même endroit dans des conditions plus paisibles). De belles plongées, mais pour la photo, c'était pas gagné. D'ailleurs, si vous avez des conseils pour améliorer l'aspect verdâtre des photos, je suis preneur.
Pour tout arranger, j'ai noyé le compartiment à piles d'un flash lors de la première plongée. Le compartiment est étanche, et le flash n'a pas souffert, mais pour nettoyer pendant la croisière, il aurait fallu que je trouve du bicarbonate ou une bombe de nettoyant pour contacts électriques (ou les deux). J'ai donc fait avec un seul flash. À noter quand même que la bonne conception du compartiment à piles étanche fait que, une fois rentré, j'ai pu nettoyer et je dispose à nouveau d'un flash qui fonctionne bien.
Je vous propose quelques images, pas vraiment classées, au fur et à mesure que je les découvre. Honneur aux dames, je commence par une demoiselle ;-). J'ai pu, à plusieurs reprises, assister à des séances de nettoyage avec différents poissons.
2. Demoiselle dorée, golden damselfish (Amblyglyphidodon aureus). Et deux labres nettoyeurs communs (Labroides dimidiatus). Richelieu rock.
Bon, autant vous le dire tout de suite, question rencontres, on a été gâtés. En plus des classiques de ces eaux, on au eu les stars, y compris des bestioles que je n'ai pas souvent croisées dans ces eaux. Mais un bon nombre de fois, je n'aurai pas de clichés à présenter : trop loin, eau trop trouble, lumière trop verte… Voilà un autre classique du coin, les poissons-scorpion. Il y en avait à chaque plongée. Ils me fascinent toujours autant. Ils sont très sûrs de leur camouflage, et donc ne bougent quasiment pas, même quand on les dérange avec nos appareils. Attention à ne pas mettre la main dessus... Et quand ils bougent, ils accompagnent souvent le mouvement d'un grognement, un peu comme s'ils râlaient de les avoir dérangé. Pour cette photo, j'aime bien le fait que le poisson ne se détache pas trop de l'environnement : on le voit, mais on voit qu'on a du mal à le voir ;-)
3. Poisson-scorpion à houppe (Scorpaenopsis oxycephala). Richelieu rock.
Le suivant illustre bien les problèmes d'eau verdâtre...
4. Poisson-scorpion à houppe (Scorpaenopsis oxycephala). Koh tachaï pinacle.
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Je rajoute une photo d'ambiance...
5. Coucher de soleil à Koh Tachaï
Sur Richelieu rock, la rencontre avec des seiches est fréquente. Là, elles étaient très occupées...
6. Seiches à grande main, broadclub cuttlefish, sepia mozada (Sepia latimanus). Richelieu rock.
De plus en plus occupées...
7. Seiches à grande main, broadclub cuttlefish, sepia mozada (Sepia latimanus). Richelieu rock.
Bon, je vous avais promis les stars, mais où sont-elles, me direz-vous ? Ça arrive, c'était pour le suspens...
8. Hippocampe à queue tigrée, tiger tail seahorse, caballito de mar de cola de tigre (Hippocampus comes). Richelieu rock.
La bestiole est casanière. Si on la croise à un endroit lors d'une plongée, on est sûr de la retrouver au même endroit lors des plongées suivantes. Celui-là nous attendait à environ trente mètres de profondeur. Il y a une part de chance : le temps est compté, les autres font la queue, il faut avoir la chance de pouvoir placer l'appareil à un endroit compatible, et c'est mieux s'il ne tourne pas le dos...
9. Hippocampe à queue tigrée, tiger tail seahorse, caballito de mar de cola de tigre (Hippocampus comes). Richelieu rock.
Sur cette deuxième photo, la nageoire dorsale est bien visible.
5. Coucher de soleil à Koh Tachaï
Sur Richelieu rock, la rencontre avec des seiches est fréquente. Là, elles étaient très occupées...
6. Seiches à grande main, broadclub cuttlefish, sepia mozada (Sepia latimanus). Richelieu rock.
De plus en plus occupées...
7. Seiches à grande main, broadclub cuttlefish, sepia mozada (Sepia latimanus). Richelieu rock.
Bon, je vous avais promis les stars, mais où sont-elles, me direz-vous ? Ça arrive, c'était pour le suspens...
8. Hippocampe à queue tigrée, tiger tail seahorse, caballito de mar de cola de tigre (Hippocampus comes). Richelieu rock.
La bestiole est casanière. Si on la croise à un endroit lors d'une plongée, on est sûr de la retrouver au même endroit lors des plongées suivantes. Celui-là nous attendait à environ trente mètres de profondeur. Il y a une part de chance : le temps est compté, les autres font la queue, il faut avoir la chance de pouvoir placer l'appareil à un endroit compatible, et c'est mieux s'il ne tourne pas le dos...
9. Hippocampe à queue tigrée, tiger tail seahorse, caballito de mar de cola de tigre (Hippocampus comes). Richelieu rock.
Sur cette deuxième photo, la nageoire dorsale est bien visible.
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On retourne aux classiques, les stars attendront... Au palier, on a encore la possibilité de faire des jolies photos. Avec un flash, j'ai eu beau la masquer, on voit l'ombre portée.
10. Platax à longues nageoires, long fin batfish (Platax teira). Koh Tachaï.
11. Platax à longues nageoires, long fin batfish (Platax teira). Koh Tachaï.
12. Mérou marbré, brown-marbled grouper, mero manchado (Epinephelus fuscoguttatus). Koh Tachaï.
Les mérous sont souvent timides, nous ne sommes pas dans une réserve. Identification sous réserve, j'ai découvert qu'il y avait une foule de mérous de type Epinephelus. Certains sont de bonne taille. Là encore, on voyait l'entrée de flash et l'ombre portée. J'ai masqué l'ombre en post-production, mais bon, c'est sûrement mieux de l'éviter avec un deuxième flash...
10. Platax à longues nageoires, long fin batfish (Platax teira). Koh Tachaï.
11. Platax à longues nageoires, long fin batfish (Platax teira). Koh Tachaï.
12. Mérou marbré, brown-marbled grouper, mero manchado (Epinephelus fuscoguttatus). Koh Tachaï.
Les mérous sont souvent timides, nous ne sommes pas dans une réserve. Identification sous réserve, j'ai découvert qu'il y avait une foule de mérous de type Epinephelus. Certains sont de bonne taille. Là encore, on voyait l'entrée de flash et l'ombre portée. J'ai masqué l'ombre en post-production, mais bon, c'est sûrement mieux de l'éviter avec un deuxième flash...
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Superbe les seiches
je me disais pourquoi elles sont coupées? ben non, c'était cette c..... d'ascenseur horizontal
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Marcopolo
http://cridupoulpe.wordpress.com
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Pas si mal que ça pour l'instant tes images !
La correction du vert, la balance des blancs ? Ligthroom si tu en disposes, offre quelques possibilités de réglages pour ça
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Merci ! La raison est simple, je ne vous montre que celles qui sont présentables ;-)
Soyons positifs, je n'ai pas eu la visibilité habituelle pour le coin, mais toutes les plongées n'ont pas non plus été très difficiles. Et une technique qui fonctionne toujours, c'est de réduire la distance avec le sujet. C'est pour les plans larges que ça posait le plus de problèmes. Il y a même un bon nombre de photos que je n'ai pas prises parce que je savais que ça ne donnerait rien. Je pense que la pire plongée s'est déroulée sur Boonsung Wreck. C'est une ancienne barge d'extraction d'étain. J'ai très rapidement renoncé à prendre des photos, et mon seul objectif était de ne pas perdre les autres. Sur Richelieu rock, c'était pas évident, et sur Koh Tachaï et Koh Bon, c'était mieux.
J'ai une ancienne version de LR (avant les versions par abonnement). J'ai bricolé avec la balance des blancs, mais on travaille un peu au pif, car il est souvent difficile de trouver un point blanc et d'utiliser l'outil pipette. Sur LR, je touche très peu (et seulement dans les cas graves ;-) aux retouches de couleur (je n'aime pas trop ce que ça donne). Avec Gimp, il n'y a guère que la modification des niveaux en sélectionnant un canal de couleur qui fonctionne un peu. Et ensuite, il n'y a pas de mystère : quand tout est vert, je me doute que les couleurs ne vont pas revenir en passant à la machine (de LR, pas de Souchon). Avec la bdb et les autres retouches, j'arrive un peu à avoir du bleu plutôt que du vert, mais je ne transforme pas une soupe planctonique en jardin de corail. Cela dit, je n'ai que des notions de base en postproduction.
14. Gaterin noir, brown sweetlips (Plectorhinchus gibbosus). Koh tachaï pinacle.
Là encore, c'est une séance de nettoyage. Le plus amusant, c'est quand les poissons se mettent à la verticale pour signaler au labre nettoyeur qu'ils sont disponibles pour une petite toilette. Voir les labres entrer dans la bouche et dans les ouies des poissons et des murènes est un spectacle dont je ne me lasse pas, mais ça n'est pas simple à prendre en photo. Et des fois, on les dérange, et la séance est terminée (ou en tout cas c'est l'entracte).
OK, mais elles sont où, les stars ? D'accord, J'en ajoute une autre.
15 et 16. Poisson-fantôme arlequin, harlequin ghost pipefish (Solenostomus paradoxus). Richelieu rock.
C'est le même sur les deux photos. Comme l'hippocampe, une fois qu'on l'a trouvé, on sait qu'on le retrouvera au même endroit. Il a eu la gentillesse de rester à côté d'une gorgone éventail, ce qui rendait le repérage plus facile. L'année dernière, c'était à côté d'un alcyonaire épineux, et il fallait chercher une branche de corail qui ressemblait en tout point aux autres branches, mais qui n'y était pas vraiment attachée.
Deux photos assez ressemblantes (il y a un mérou en arrière-plan de la deuxième, la 16). Comme ça, vous me donnerez votre avis sur le rendu qui est assez différent.
La suite une autre fois...
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Merci ! J'adore les seiches, leur façon de faire onduler leur manteau pour les déplacements lents, leurs accélérations avec leur déplacement rapide par réaction, les mouvements des tentacules, et cet œil en W...
Là encore, le fond était très chargé. J'ai choisi la solution la plus simple pour ne pas passer la journée à les retoucher, foncer l'arrière-plan. Prise de vue en minimisant la lumière naturelle, détourage... La photo est prise de jour.
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Je retiens surtout les seiches.
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Le monde ne mourra pas par manque de merveilles mais uniquement par manque d’émerveillement.
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La suite... Suite aux conseils trouvés sur le forum, j'ai essayé de zoomer à mi-parcours pour faire des photos rapprochées. Ça ne vaut pas ce qu'obtiennent les pros du forum avec une lentille macro, et il faut recadrer serré pour ne pas avoir un sujet perdu au milieu de nulle part, mais bon ça me plaît bien.
17. Doris à deux anneaux, ringed chromodoris, Goniobranchus annulatus. Richelieu rock.
Un classique des lieux, le poisson-ballon. J'aime bien le décor autour, la tubastrée orange.
18. Poisson-ballon à taches noires, blackspotted pufferfish, pez globo enmascarado, Arothron nigropunctatus. Richelieu rock.
Pour la photo suivante, j'avoue j'ai voulu faire comme les grands, le plongeur avec la lampe allumée derrière. Bon, j'ai encore du boulot... Cette photo, je l'ai récupérée par les cheveux : LR me la recadrait trop serrée.
19. Comatule de Schlegel, Schlegel’s feathers star, Comaster schlegelii. Koh bon ridge.
17. Doris à deux anneaux, ringed chromodoris, Goniobranchus annulatus. Richelieu rock.
Un classique des lieux, le poisson-ballon. J'aime bien le décor autour, la tubastrée orange.
18. Poisson-ballon à taches noires, blackspotted pufferfish, pez globo enmascarado, Arothron nigropunctatus. Richelieu rock.
Pour la photo suivante, j'avoue j'ai voulu faire comme les grands, le plongeur avec la lampe allumée derrière. Bon, j'ai encore du boulot... Cette photo, je l'ai récupérée par les cheveux : LR me la recadrait trop serrée.
19. Comatule de Schlegel, Schlegel’s feathers star, Comaster schlegelii. Koh bon ridge.
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Les plongées s'enchaînent, quatre plongées par jour. Des antennes qui dépassent, un petit coup d'œil sous un surplomb, et on surprend une langouste.
20. Langouste peinte, painted spiny lobster, langosta azul (Panulirus versicolor). Koh bon ridge.
Parmi les classiques, on déniche des poissons un peu plus rares, et toujours aussi élégants.
21. Poisson cocher fantôme, phantom bannerfish, pez estandrate fantasma (Heniochus pleurotaenia). Koh bon ridge.
De temps en temps, j'essaye autre chose. Habituellement, le corail ne me passionne pas. Mais là, il y a quand même de belles choses.
22. Tubastrée orange, orange cup coral, coral naranja de tubo (Tubastraea coccinea). Richelieu rock.
Un poisson la gueule ouverte. Ça n'arrive pas souvent, alors j'aime bien quand ça arrive.
23. Idole maure, moorish idol, ídolo moro (Zanclus cornutus). Chirurgien-clown, lined surgeonfish, cajeta moteada (Acanthurus lineatus). Koh bon ridge.
Le chirurgien-clown, quelle élégance ! Il méritait un portrait juste pour lui.
24. Chirurgien-clown, lined surgeonfish, cajeta moteada (Acanthurus lineatus). Koh bon ridge.[/b]
20. Langouste peinte, painted spiny lobster, langosta azul (Panulirus versicolor). Koh bon ridge.
Parmi les classiques, on déniche des poissons un peu plus rares, et toujours aussi élégants.
21. Poisson cocher fantôme, phantom bannerfish, pez estandrate fantasma (Heniochus pleurotaenia). Koh bon ridge.
De temps en temps, j'essaye autre chose. Habituellement, le corail ne me passionne pas. Mais là, il y a quand même de belles choses.
22. Tubastrée orange, orange cup coral, coral naranja de tubo (Tubastraea coccinea). Richelieu rock.
Un poisson la gueule ouverte. Ça n'arrive pas souvent, alors j'aime bien quand ça arrive.
23. Idole maure, moorish idol, ídolo moro (Zanclus cornutus). Chirurgien-clown, lined surgeonfish, cajeta moteada (Acanthurus lineatus). Koh bon ridge.
Le chirurgien-clown, quelle élégance ! Il méritait un portrait juste pour lui.
24. Chirurgien-clown, lined surgeonfish, cajeta moteada (Acanthurus lineatus). Koh bon ridge.[/b]
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Petit à petit, je découvre des photos présentables, et j'expérimente des techniques pour retrouver les couleurs et atténuer les ombres dues au fait qu'il n'y a qu'un seul flash.
Deux photos que je présente ensembles avec une devinette : pourquoi cette raie a-t-elle des points bleus ?
25. Pastenague masquée à points bleus, blue-spotted stingray (Neotrygon kuhlii). Similan island, Deep six.
Parce que ce poisson lui a fait des bisous ;-)
26. Poisson-ange à trois taches, threespot angelfish (Apolemichthys trimaculatus). Elephant head rock.
Un classique du coin, la rascasse volante. Pour récupérer des pixels recadrés par LR, j'ai ouvert cette image avec Gimp. Mais le traitement de la couleur s'est fait... dans la douleur... J'aime bien cette image quand même, c'est pas toujours évident d'avoir ce poisson de face, il a tendance à rapidement tourner pour vous présenter ses épines empoisonnées.
27. Rascasse volante, lionfish, pez león colorado (Pterois volitans). Similan island, Deep six.
Le poisson suivant, j'ai mis du temps à l'identifier. Il me faisait penser à une saupe grise (Kyphosus cinerascens). En fait, il appartient à la famille des sérans, et même des mérous. Comme beaucoup de poissons ces derniers temps, on est en train de réviser sa classification à la suite d'analyses de l'ADN. Il passerait dans la famille des Cephalopholis, comme le mérou rouge (Cephalopholis miniata).
28. Mérou noir, redmouth grouper, cherna roga (Aethaloperca rogaa, mais ça va peut-être changer). Similan island, Deep six.
Puisqu'on en parle, voici un mérou rouge. Toutes ailes déployées.
29. Mérou rouge, coral grouper, cherna estrellada (Cephalopholis miniata). Similan island, three trees.
Deux photos que je présente ensembles avec une devinette : pourquoi cette raie a-t-elle des points bleus ?
25. Pastenague masquée à points bleus, blue-spotted stingray (Neotrygon kuhlii). Similan island, Deep six.
Parce que ce poisson lui a fait des bisous ;-)
26. Poisson-ange à trois taches, threespot angelfish (Apolemichthys trimaculatus). Elephant head rock.
Un classique du coin, la rascasse volante. Pour récupérer des pixels recadrés par LR, j'ai ouvert cette image avec Gimp. Mais le traitement de la couleur s'est fait... dans la douleur... J'aime bien cette image quand même, c'est pas toujours évident d'avoir ce poisson de face, il a tendance à rapidement tourner pour vous présenter ses épines empoisonnées.
27. Rascasse volante, lionfish, pez león colorado (Pterois volitans). Similan island, Deep six.
Le poisson suivant, j'ai mis du temps à l'identifier. Il me faisait penser à une saupe grise (Kyphosus cinerascens). En fait, il appartient à la famille des sérans, et même des mérous. Comme beaucoup de poissons ces derniers temps, on est en train de réviser sa classification à la suite d'analyses de l'ADN. Il passerait dans la famille des Cephalopholis, comme le mérou rouge (Cephalopholis miniata).
28. Mérou noir, redmouth grouper, cherna roga (Aethaloperca rogaa, mais ça va peut-être changer). Similan island, Deep six.
Puisqu'on en parle, voici un mérou rouge. Toutes ailes déployées.
29. Mérou rouge, coral grouper, cherna estrellada (Cephalopholis miniata). Similan island, three trees.
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La 26 et la 28
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En plus de la langouste, quelques crevettes de Durban fondues dans le décor.
30. Langouste peinte, painted spiny lobster, langosta azul (Panulirus versicolor). Crevettes danseuses de Durban, Durban hinge-beak schrimp (Rhynchocinetes durbanensis). Similan island, Deep 6.
31. Baliste clown, clown triggerfish (Balistoides conspicillum). Similan island, Deep 6.
32. Poisson-ballon à taches blanches, white-spotted puffer, tamboril verde de puntos blancos (Arothron hispidus). Similan island, Deep 6.
Les gaterins ou diagrammes en français, les sweetlips en anglais (et c'est vrai qu'ils ont des lèvres qui font penser à une injection de collagène), que l'on retrouve sous les surplombs. Les juvéniles sont très différents des adultes.
33. Diagramme oriental, oriental sweetlips (Plectorhinchus vittatus). Elephant head rock.
J'aime bien les comatules. En fouillant dans le pied, on découvre parfois des petits crabes. Là, il y a un petit poisson-faucon à côté (un peu grillé...). L'identification est sous réserve, à confirmer ou infirmer si vous disposez d'informations.
34. Comatule de Schlegel, Schlegel’s feather star (Comaster schlegelii). Épervier à points rouges, coral hawkfish, halcón de coral (Cirrhichthys oxycephalus). Similan island, three trees.
Une tentative de recadrage en carré.
35. Poisson-coffre jaune, yellow boxfish, pez cofre amarillo (Ostracion cubicus). Elephant head rock.
30. Langouste peinte, painted spiny lobster, langosta azul (Panulirus versicolor). Crevettes danseuses de Durban, Durban hinge-beak schrimp (Rhynchocinetes durbanensis). Similan island, Deep 6.
31. Baliste clown, clown triggerfish (Balistoides conspicillum). Similan island, Deep 6.
32. Poisson-ballon à taches blanches, white-spotted puffer, tamboril verde de puntos blancos (Arothron hispidus). Similan island, Deep 6.
Les gaterins ou diagrammes en français, les sweetlips en anglais (et c'est vrai qu'ils ont des lèvres qui font penser à une injection de collagène), que l'on retrouve sous les surplombs. Les juvéniles sont très différents des adultes.
33. Diagramme oriental, oriental sweetlips (Plectorhinchus vittatus). Elephant head rock.
J'aime bien les comatules. En fouillant dans le pied, on découvre parfois des petits crabes. Là, il y a un petit poisson-faucon à côté (un peu grillé...). L'identification est sous réserve, à confirmer ou infirmer si vous disposez d'informations.
34. Comatule de Schlegel, Schlegel’s feather star (Comaster schlegelii). Épervier à points rouges, coral hawkfish, halcón de coral (Cirrhichthys oxycephalus). Similan island, three trees.
Une tentative de recadrage en carré.
35. Poisson-coffre jaune, yellow boxfish, pez cofre amarillo (Ostracion cubicus). Elephant head rock.
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Non mais à l'eau quoi
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Thaïlande, croisières plongée mars 2020
35 couleurs sympas, inhabituelles mais poisson à l'étroit dans le cadre.
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Merci pour vos commentaires et pour vos remarques. C'est enrichissant. J'en ai d'autres, mais je n'avance pas vite. Hier, j'ai passé un temps fou à bricoler une imitation photographique d'un tableau célèbre. Peut-être avez-vous vu passer ce « défi » ? Je ferai peut-être un CR dans le forum « L'image pas sub ». Mais j'ai encore quelques photos subaquatiques à vous proposer.
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Non mais à l'eau quoi
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Je reviens avec une photo différente du poisson-fantôme arlequin. En prime, un ovule des gorgones, découvert en zoomant. Les identifications sont sous réserve. L'ovule pourrait être Phenacovolva rosea, ou Aclyvolva lanceolata. La gorgone-balai, je propose Ellisella sp..
36. Poisson-fantôme arlequin, harlequin ghost pipefish, pez aguja fantasma ornado (Solenostomus paradoxus). Ovule des gorgones rouges (Prosimnia semperi). Gorgone-balai (Ellisella sp.). Richelieu rock.
Les crevettes de Durban sont omniprésentes : dès qu'il y a un coin d'ombre, on en voit. Là, c'est un recadrage sauvage.
37. Crevette danseuse de Durban, Durban hinge-beak shrimp (Rhynchocinetes durbanensis. Pad cad.
Une dernière pour la route...
38. Mérou rouge, coral grouper, cherna estrellada (Cephalopholis miniata). Koh bon ridge.
36. Poisson-fantôme arlequin, harlequin ghost pipefish, pez aguja fantasma ornado (Solenostomus paradoxus). Ovule des gorgones rouges (Prosimnia semperi). Gorgone-balai (Ellisella sp.). Richelieu rock.
Les crevettes de Durban sont omniprésentes : dès qu'il y a un coin d'ombre, on en voit. Là, c'est un recadrage sauvage.
37. Crevette danseuse de Durban, Durban hinge-beak shrimp (Rhynchocinetes durbanensis. Pad cad.
Une dernière pour la route...
38. Mérou rouge, coral grouper, cherna estrellada (Cephalopholis miniata). Koh bon ridge.
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Merci pour ce CR, très belles variétés d’espèces, tu as du te régaler sous l'eau !
Petite question : c'est normal que tu aies toujours la même vitesse d'expo (1/80 s) sur toutes tes photos ? Tu n'as jamais essayé de l'augmenter ou de mettre en auto ? Je dis peut être une bêtise, mais peut être que tu gagnerais en netteté
Petite question : c'est normal que tu aies toujours la même vitesse d'expo (1/80 s) sur toutes tes photos ? Tu n'as jamais essayé de l'augmenter ou de mettre en auto ? Je dis peut être une bêtise, mais peut être que tu gagnerais en netteté
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C'est un choix pour me simplifier la vie. Je trouve qu'il y a beaucoup de choses à penser, réglage de la lumière, réglage de la puissance et de la position des flashs, cadrage, stabilisation du plongeur... C'est trop pour un plongeur qui fait des photos (je ne suis pas un photographe qui va sous l'eau).
Au 1/80e j'ai assez peu de flou de bougé (assez peu mais j'en ai). Faire une pose plus longue ne me pose pas de problème en photo terrestre, j'arrive à être net au 1/4 (en grand angle). Mais sous l'eau, si je descends en-dessous du 1/60e, c'est souvent flou, l'eau bouge, le poisson bouge (même les nudibranches !). Je prends de la marge en fixant la durée d'exposition à 1/80e et ça convient pour la majorité des cas. Ça me permet de me concentrer sur l'ouverture, mon objectif étant d'obtenir une bonne profondeur de champ. En photo rapprochée, ce qui représente l'essentiel de mes photos, la faible profondeur de champ et le choix de l'endroit où on fait le focus posent plus de problèmes que le flou de bougé.
En plus, avec le Canon G7X et le caisson Canon, il faut une manip de plus pour modifier la durée d'exposition, puisque j'ai choisi de pouvoir facilement modifier le diaphragme.
Mais je reconnais que dans certaines situations il faudrait soit choisir une durée plus courte pour être sûr de la netteté, ou tenter des poses longues pour obtenir des effets intéressants. Et jouer avec la balance de la lumière naturelle et celle du flash.
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