Mozambique 19/07 - 03/08/2023 : un voyage inoubliable qui se mérite.
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Mozambique 19/07 - 03/08/2023 : un voyage inoubliable qui se mérite.
La vidéo montre un départ par mer calme mais la mer n'a pas toujours été calme. C'est d'ailleurs indispensable pour voir les baleines à bosse sauter (une étude récente à établi qu'elles le faisaient quand la mer était fort bruyante donc agitée).
https://vimeo.com/manage/videos/854119621/privacy
Le bateau n'a pas d'échelle de remontée. Avec mes 20 kg en trop et mon ventre, c'est difficile pour ne pas dire pénible. Il est bien équipé pour naviguer dans la houle et les vagues : passants pour bloquer les pieds, filière interne et externe pour se tenir des deux mains. Cela permet de bien soulager le dos sinon j'aurais très probablement fini à l'hôpital.
Les mozambicains sont gentils, aimables et patients. C'est très agréable et permet de supporter une organisation fort éloignée de nos standards. Il ne sert à rien de s'énerver et après tout, on est en vacances et retraités pour la plupart, donc il faut profiter du moment (carpe diem). Une des récompenses est de voir des dizaines de baleines et des centaines (au moins une centaine) de sauts dont pas mal tout près du bateau (20-30 m de distance). C'est un spectacle inoubliable. Je posterai bientôt quelques images sous-marines.
https://vimeo.com/manage/videos/854119621/privacy
Le bateau n'a pas d'échelle de remontée. Avec mes 20 kg en trop et mon ventre, c'est difficile pour ne pas dire pénible. Il est bien équipé pour naviguer dans la houle et les vagues : passants pour bloquer les pieds, filière interne et externe pour se tenir des deux mains. Cela permet de bien soulager le dos sinon j'aurais très probablement fini à l'hôpital.
Les mozambicains sont gentils, aimables et patients. C'est très agréable et permet de supporter une organisation fort éloignée de nos standards. Il ne sert à rien de s'énerver et après tout, on est en vacances et retraités pour la plupart, donc il faut profiter du moment (carpe diem). Une des récompenses est de voir des dizaines de baleines et des centaines (au moins une centaine) de sauts dont pas mal tout près du bateau (20-30 m de distance). C'est un spectacle inoubliable. Je posterai bientôt quelques images sous-marines.
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Jean-Pierre Corolla
Adieu, dit le renard. Voici mon secret. Il est très simple : on ne voit bien qu’avec le cœur. L’essentiel est invisible pour les yeux.
Le Petit Prince - Antoine de Saint-Exupéry
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Mozambique 19/07 - 03/08/2023 : un voyage inoubliable qui se mérite.
La plongée
C'est très physique ! Outre le trajet en bateau qui peut durer jusqu'à une heure dans une mer agitée, sous l'eau c'est un peu la Bretagne. A part la température de l'eau (22-23 °C), la visibilité est similaire, la houle nous balade de gauche et de droite même à -30m et il y a beaucoup de courant.
A la mise à l'eau, la consigne est impérative : on pique à toutes palmes vers le fond en suivant la monitrice Olivia. Celle-ci traine un dévidoir attaché par une corde jaune canari à une bouée qui reste en surface. Surtout ne pas les perdre sinon c'est le retour en surface et la fin de la plongée. Il y a un serre-file Bruno qui surveille tout ce petit monde. Le caisson étant à plusieurs jours de voyage, les plongées sont sans paliers et on est tous au nitrox.
Ce système n'est absolument pas coercitif. Olivia montre plein de petites et grandes bestioles intéressantes, et on s'indique les bons coins. On est plusieurs photographes dont beaucoup sont en photo macro => on a tendance à se disperser. Mais Bruno veille. Il nous suffit de lever la tête et il est là pour nous indiquer la direction où se trouve le reste du groupe ou nous porter assistance. On profite à fond de notre plongée car on ne s'occupe que du temps restant avant paliers et de la pression de notre bouteille.
Le fond est composé de secs, plateaux de pierre creusés par de larges crevasses et entourés de sable. Tout est concrétionné. On retrouve la faune de l'océan Indien sans les coraux. Pour le gros, il est interdit de se mettre à l'eau avec les baleines à bosse ce qui peut se comprendre vu qu'elles sautent sans arrêt (aïe pas sur la tête) mais on a fait du PMT (palmes-masque-tuba) avec les requins baleine.
Vu les conditions, je n'ai pris mon appareil photo que sur les trois dernières plongées car la mer était plus calme. Il reste que j'ai du me cramponner d'une main et faire les photos de l'autre. C'était bien plus beau que les misérables images que je joints à ce post.
Photo 1 Photo 2 Photo 3 Photo 4 Photo 5 Photo 6 Photo 7 Photo 8 Photo 9
C'est très physique ! Outre le trajet en bateau qui peut durer jusqu'à une heure dans une mer agitée, sous l'eau c'est un peu la Bretagne. A part la température de l'eau (22-23 °C), la visibilité est similaire, la houle nous balade de gauche et de droite même à -30m et il y a beaucoup de courant.
A la mise à l'eau, la consigne est impérative : on pique à toutes palmes vers le fond en suivant la monitrice Olivia. Celle-ci traine un dévidoir attaché par une corde jaune canari à une bouée qui reste en surface. Surtout ne pas les perdre sinon c'est le retour en surface et la fin de la plongée. Il y a un serre-file Bruno qui surveille tout ce petit monde. Le caisson étant à plusieurs jours de voyage, les plongées sont sans paliers et on est tous au nitrox.
Ce système n'est absolument pas coercitif. Olivia montre plein de petites et grandes bestioles intéressantes, et on s'indique les bons coins. On est plusieurs photographes dont beaucoup sont en photo macro => on a tendance à se disperser. Mais Bruno veille. Il nous suffit de lever la tête et il est là pour nous indiquer la direction où se trouve le reste du groupe ou nous porter assistance. On profite à fond de notre plongée car on ne s'occupe que du temps restant avant paliers et de la pression de notre bouteille.
Le fond est composé de secs, plateaux de pierre creusés par de larges crevasses et entourés de sable. Tout est concrétionné. On retrouve la faune de l'océan Indien sans les coraux. Pour le gros, il est interdit de se mettre à l'eau avec les baleines à bosse ce qui peut se comprendre vu qu'elles sautent sans arrêt (aïe pas sur la tête) mais on a fait du PMT (palmes-masque-tuba) avec les requins baleine.
Vu les conditions, je n'ai pris mon appareil photo que sur les trois dernières plongées car la mer était plus calme. Il reste que j'ai du me cramponner d'une main et faire les photos de l'autre. C'était bien plus beau que les misérables images que je joints à ce post.
Photo 1 Photo 2 Photo 3 Photo 4 Photo 5 Photo 6 Photo 7 Photo 8 Photo 9
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Jean-Pierre Corolla
Adieu, dit le renard. Voici mon secret. Il est très simple : on ne voit bien qu’avec le cœur. L’essentiel est invisible pour les yeux.
Le Petit Prince - Antoine de Saint-Exupéry
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Mozambique 19/07 - 03/08/2023 : un voyage inoubliable qui se mérite.
L'excursion dans la lagune et le muck dive
Nous sommes basés à Tofo, ville à 500 km au nord de Maputo. Au nord-ouest, il y a une immense baie lagunaire. Un après-midi, elle est l'objet d'une excursion qui fera à tous les participants une énorme impression. On commence par s'installer dans deux taxis et un minibus. Pas de chance, je suis dans les derniers et je me retrouve assis au fond du minibus juste au-dessus de la roue. Pendant tout le trajet, je m'arcboute pour essayer de préserver mon dos qui, à chaque cahot, reçoit l'équivalent d'un coup de pied. J'arrive complètement épuisé et je me rends compte que si je m'équipe, il y a une grande probabilité de me retrouver bloqué du dos. Je décide alors d'y aller sans mon équipement. La marche devrait me faire du bien.
Nous traversons quelques champs et nous arrivons dans la mangrove. C'est marée basse et la mer s'est retirée. La marche dans la boue a raison de mes sandales compagnes de tant d'excursions. Je continue pieds nus* (va falloir regarder où je les pose). Nous sortons de la mangrove et arrivons dans la lagune. C'est un immense espace entre ciel et sable, où la mer est à l'horizon. Nous marchons longtemps pour arriver à l'eau où une barque traditionnelle nous attend. On est vraiment au milieu de nulle part. L'impression est aussi forte que quand on traverse le désert profond (celui où nulle plante ne vit ou survit). Nous embarquons. Avec l'équipage, c'est pas loin de 20 personnes assises dans ce petit espace. Les marins ne sortent pas la voile triangulaire mais poussent avec une godille. La mer commence déjà à remonter et nous assistons au spectacle d'un petit mascaret. On voit nettement le bourrelet d'eau formé par la marée montante. Vous aurez bien compris que sur une surface aussi plate, le courant est violent. Nous arrivons à un endroit où il y a quelques rochers. Le bateau s'ancre. C'est ici qu'en PMT mais sans ceinture de plombs (c'est interdit), nous allons aller voir des hippocampes et des crevettes arlequin. J'apprends que ces crevettes aiment les eaux peu profondes (1-2 m) et vaseuses où elles se nourrissent d'étoiles de mer qu'elles découpent avec leurs pinces. Vu la force du courant, il vaut mieux avoir des palmes de chasse et chaque photo est un véritable challenge. Au bout de 40 minutes, les nageurs remontent à bord. Ceux qui étaient en combinaison ont du faire des efforts violents pour chaque image, ceux équipés plus léger sont frigorifiés. Tous sont ravis de cette expérience incroyable.
Les marins hissent la voile et prennent le chemin du retour. La marée montante a déjà recouvert une grande part du chemin fait à pied à l'aller. Cependant le bateau est très chargé et ne peut nous ramener jusqu'à la côte. A quelques centaines de mètres de la mangrove, nous descendons et marchons avec de l'eau jusqu'au haut des mollets. Le temps d'atteindre la plage, la marée montante a permis au bateau allégé de nous rejoindre avec notre équipement laissé à bord. Photo de Aline BEAUDENON
Il nous reste à rendre la route du retour.
(*) Non, je n'ai pas abandonné mes sandales dans la mangrove. Je les ai trimballées avec moi pour leur trouver une destination plus "écologique".
Nous sommes basés à Tofo, ville à 500 km au nord de Maputo. Au nord-ouest, il y a une immense baie lagunaire. Un après-midi, elle est l'objet d'une excursion qui fera à tous les participants une énorme impression. On commence par s'installer dans deux taxis et un minibus. Pas de chance, je suis dans les derniers et je me retrouve assis au fond du minibus juste au-dessus de la roue. Pendant tout le trajet, je m'arcboute pour essayer de préserver mon dos qui, à chaque cahot, reçoit l'équivalent d'un coup de pied. J'arrive complètement épuisé et je me rends compte que si je m'équipe, il y a une grande probabilité de me retrouver bloqué du dos. Je décide alors d'y aller sans mon équipement. La marche devrait me faire du bien.
Nous traversons quelques champs et nous arrivons dans la mangrove. C'est marée basse et la mer s'est retirée. La marche dans la boue a raison de mes sandales compagnes de tant d'excursions. Je continue pieds nus* (va falloir regarder où je les pose). Nous sortons de la mangrove et arrivons dans la lagune. C'est un immense espace entre ciel et sable, où la mer est à l'horizon. Nous marchons longtemps pour arriver à l'eau où une barque traditionnelle nous attend. On est vraiment au milieu de nulle part. L'impression est aussi forte que quand on traverse le désert profond (celui où nulle plante ne vit ou survit). Nous embarquons. Avec l'équipage, c'est pas loin de 20 personnes assises dans ce petit espace. Les marins ne sortent pas la voile triangulaire mais poussent avec une godille. La mer commence déjà à remonter et nous assistons au spectacle d'un petit mascaret. On voit nettement le bourrelet d'eau formé par la marée montante. Vous aurez bien compris que sur une surface aussi plate, le courant est violent. Nous arrivons à un endroit où il y a quelques rochers. Le bateau s'ancre. C'est ici qu'en PMT mais sans ceinture de plombs (c'est interdit), nous allons aller voir des hippocampes et des crevettes arlequin. J'apprends que ces crevettes aiment les eaux peu profondes (1-2 m) et vaseuses où elles se nourrissent d'étoiles de mer qu'elles découpent avec leurs pinces. Vu la force du courant, il vaut mieux avoir des palmes de chasse et chaque photo est un véritable challenge. Au bout de 40 minutes, les nageurs remontent à bord. Ceux qui étaient en combinaison ont du faire des efforts violents pour chaque image, ceux équipés plus léger sont frigorifiés. Tous sont ravis de cette expérience incroyable.
Les marins hissent la voile et prennent le chemin du retour. La marée montante a déjà recouvert une grande part du chemin fait à pied à l'aller. Cependant le bateau est très chargé et ne peut nous ramener jusqu'à la côte. A quelques centaines de mètres de la mangrove, nous descendons et marchons avec de l'eau jusqu'au haut des mollets. Le temps d'atteindre la plage, la marée montante a permis au bateau allégé de nous rejoindre avec notre équipement laissé à bord. Photo de Aline BEAUDENON
Il nous reste à rendre la route du retour.
(*) Non, je n'ai pas abandonné mes sandales dans la mangrove. Je les ai trimballées avec moi pour leur trouver une destination plus "écologique".
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Jean-Pierre Corolla
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Le Petit Prince - Antoine de Saint-Exupéry
- emmanuelC
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Mozambique 19/07 - 03/08/2023 : un voyage inoubliable qui se mérite.
Merci Jean-Pierre pour ce compte rendu. On y est. Ça a l'air "roots" mais vous semblez ravis. Du voyage plus que du tourisme, ça fait de plus beaux souvenirs.
Quant à tes images "misérables", tu les dévalues grandement. Le TG6 est vraiment stupéfiant pour la proxi/macro. Perso, j'en veux ENCORE ;o)))
Quant à tes images "misérables", tu les dévalues grandement. Le TG6 est vraiment stupéfiant pour la proxi/macro. Perso, j'en veux ENCORE ;o)))
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- Flo
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Mozambique 19/07 - 03/08/2023 : un voyage inoubliable qui se mérite.
Merci pour ton CR ! Tu as l'air fort content même si les conditions me semblent bien difficiles !
- Gembou
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Mozambique 19/07 - 03/08/2023 : un voyage inoubliable qui se mérite.
Merci, sympa de nous avoir fait voyager dans ces contrées un peu rudes.
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Le monde ne mourra pas par manque de merveilles mais uniquement par manque d’émerveillement.
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- gcocs
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Mozambique 19/07 - 03/08/2023 : un voyage inoubliable qui se mérite.
Pour paraphraser le petit garçon dans le film "La guerre des boutons" : Si j'aurais su, j'aurais pas venu.
Heureusement que j'ai n'ai pas su et que j'y suis allé
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Jean-Pierre Corolla
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Merci pour ce CR. En effet de ce que tu racontes les conditions de plongées n'avaient pas l'air simple.
Il me semblait que le Mozambique était aussi réputé pour le gros : Requin de différentes espèces, Pélagique, Merou Goliathe... Tu n'as rien vu de tout ça ?
Il me semblait que le Mozambique était aussi réputé pour le gros : Requin de différentes espèces, Pélagique, Merou Goliathe... Tu n'as rien vu de tout ça ?
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Emmanuel VAILLANT
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Mozambique 19/07 - 03/08/2023 : un voyage inoubliable qui se mérite.
On a vu de gros mérous mais pas d'énormes mérous de 100 kg. Pas beaucoup de requins (à part les requins baleine) et quelques raies mobula (il parait que manta n'est plus leur nom).
Le groupe était composé d'amateurs de bio s-m donc pas uniquement centrés sur du gros.
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Jean-Pierre Corolla
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